Tuesday, February 5, 2008

The Life Cycle of a Blog Post, From Servers to Spiders to Suits -- to You

You have to read this piece in Wired if you blog.


The Life Cycle of a Blog Post, From Servers to Spiders to Suits — to You
By Frank Rose 01.22.07 | 3:00 PM
You have a blog. You compose a new post. You click Publish and lean back to admire your work. Imperceptibly and all but instantaneously, your post slips into a vast and recursive network of software agents, where it is crawled, indexed, mined, scraped, republished, and propagated throughout the Web. Within minutes, if you've written about a timely and noteworthy topic, a small army of bots will get the word out to anyone remotely interested, from fellow bloggers to corporate marketers. Let's say it's Super Bowl Sunday and you're blogging about beer. You see Budweiser's blockbuster commercial and have a reaction you'd like to share. Thanks to search engines and aggregators that compile lists of interesting posts, you can reach a lot of people — and Budweiser, its competitors, beer lovers, ad critics, and your ex-boyfriend can listen in. "You just need to know how to type," says Matthew Hurst, an artificial intelligence researcher who studies this ecosystem at Microsoft Live Labs. Here's how the whole process goes down during the big game.



The Life Cycle of a Blog Post, From Servers to Spiders to Suits -- to You


Tom Petty 2008 Super Bowl Halt-Time Show

Opium economy will take 20 years and £1bn to remove | Special reports | Guardian Unlimited


Europe and other major heroin markets should brace themselves for health consequences of harvest, warns UN

Patrick Wintour, political editor
Wednesday February 6, 2008
The Guardian


Afghanistan's opium economy will take up to 20 years to eradicate and require a £1bn investment from world leaders, according to a government study published yesterday.

Opium economy will take 20 years and £1bn to remove | Special reports | Guardian Unlimited



Tunisie : Encore 12 milliards DT ! (From AfricanManager.com)



Le flux des investissements arabes en Tunisie, ne semble pas s’arrêter et les groupes financiers du golfe se suivent et ne se ressemblent pas. Après les 18 milliards de Sama Dubaï, les 5 milliards DT d’Abou Khater et les 8 milliards DT de GFH, un autre groupe des Emirats Arabes Unis, annonce un autre projet, immobilier notamment, d’une valeur de 12 milliards DT !


Même si tous ces projets, à la vue de leurs maquettes et leurs films promotionnels, ressemblent plus à du rêve, tant étaient belles les images présentées et les perspectives urbaines et d’emplois. Ce qui est pourtant certain, c’est que ces rêves ne sont pas loin de la réalité. D’abord, par ce qu’ils se font tous sous la houlette de la commission supérieure des grands projet qui dépend directement de la présidence de la République tunisienne. Ensuite, parce que certains, au moins deux, commencent réellement à prendre forme, par le commencement de leurs travaux de terrassement.

Qui est Al Maabar ?

Le dernier arrivé, n’est pas des moindres. C’est le groupe «Al Maabar International Investments Company». Chose importante, elle n’est pas nouvelle sur le marché tunisien. Youssef Al Nowis, membre du conseil d’administration, évoque en effet, lors de son point de presse de présentation du projet des 10 milliards, des projets antérieurs réalisés en Tunisie, au Port Kantaoui et Dar Naouar, sans oublier le projet de 500 MDT à Abou Regrag au Maroc. Une déclaration sous forme de gage du sérieux de ce groupe d’un capital de 150 millions Usd et qui devrait doubler bientôt, selon la même source.

Le projet d’El Maabar IIC, dont il dit qu’il sera le plus grand sur le continent africain, sera appelé Bled El Ward (Porte des roses). Il sera implanté sur la Sebkhat d’Ariana (dite ville des roses justement), sur les rivages nord de la capitale tunisienne et qu’il espère « acquérir à un prix symbolique». Le projet s’étend sur 5000 hectares et ses investissements sont estimés à 10 milliards de dollars.

Pierre angulaire de ce nouveau projet, en formes d’îlots sur le lac d’Ariana qui sera ouvert sur la mer et dont partie avait fait l’objet de recommandations particulières de la part du programme des Nations Unies pour l’environnement, la ville médicale qui devrait renforcer l’activité de tourisme de santé en Tunisie et des centres de recherche médicale. Il sera entouré d’un business Center grandeur nature, d’un grand projet touristique sous forme de villas tout confort et pas moins de 3 golfes. Toute cette nouvelle ville à naître, devrait pouvoir accueillir 6000 personnes et donner du travail à 10 mille personnes. Il va de soit, que la commercialisation de toute cette ville, sera aussi assurée par les promoteurs du projet qui fera appelle, Al Nowis l’affirme, à des entreprises et des compétences tunisiennes.

Ce projet, développera tout une ville moderne intégrée, comprenant notamment des cours d’eau intérieures, des résidences, des centres touristiques, de loisirs, commerciaux et sportifs et nombre de parcs et espaces vert. Il devrait aussi permettre à Tunis, selon ses promoteurs, de gagner 50 kilomètres de plages sous formes de cours d'eau intérieurs.

Le défi écologique !

Yousef Al Nowis, semble être conscient du défi écologique que ces équipes vont devoir lever dans cette région pour en préserver l’équilibre de l’écosystème et déclare recourir pour cela aux technologies les plus avancées pour la réalisation de ce projet dont les esquisses ont été faits en Californie par des équipes américaines. La première tranche de la «Porte des roses» dont les travaux devraient durer une vingtaine d’années, devrait s’étaler sur 5 années au plus et son premier coup de pioche, donné au cours du premier semestre de cette année. Pour cela, il faudra attendre la signature de la convention (comme pour Sama Dubaï) et la constitution de la société en Tunisie. Pour cela, dit Al Nowis, «les discussions et les négociations, vont bon train » !

Dans une déclaration de presse faite à l’issue de la présentation, lundi matin, du projet au Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, en présence du Sheikh Abdallah Ben Zaied Al-Nahyen, ministre des affaires étrangères des Emirats Arabes Unis, Yousef Al Nowis, Administrateur délégué et Directeur général d’Al Maabar International a souligné le caractère exceptionnel de Beb El Ward, unique en son genre dans la rive sud de la Méditerranée. L’ensemble, en parfaite harmonie entre lieu de travail, de résidence et de bien être, dans un cadre naturel exceptionnel qui privilégie la nature et l’environnement. Le ministère tunisien de l’environnement, avec lequel les promoteurs ont tenu plus d’une réunion, devra en être le garant !

Tunisie : Encore 12 milliards DT !